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Introduction

Le dioxyde de carbone (CO²) qui se diffuse dans l’atmosphère qui nous entoure a atteint un point de non-retour : sa circulation a atteint son niveau le plus élevé depuis 2 millions d’années. Ce phénomène a pour conséquences d’accélérer le réchauffement climatique, et donc de dérégler le climat terrestre dans son ensemble.

Taux de CO² : quel bilan ?

Des chercheurs de l’Université de Southampton (Royaume-Uni) ont effectué une étude sur 420 millions d’années, concernant la concentration de CO² dans l’atmosphère. Résultat : le taux de dioxyde de carbone actuellement présent est le plus élevé que la Terre ait connu, depuis 2 millions d’années. Selon les chercheurs, celui-ci pourrait même atteindre une concentration de 2000 particules par million (ppm) d’ici à 2250.

Pour comparaison, la concentration de CO² n’atteignait que 280 ppm à l’ère de la révolution industrielle. Le taux de dioxyde de carbone est tel qu’il participe dangereusement aux effets de serre, et donc au réchauffement climatique. Alors qu’aujourd’hui la variation climatique provoquée par l’activité humaine a atteint un rythme non-équivoque, il est de notre devoir d’amortir son impact.

Réduire son impact nucléaire et contribuer à l’écologie

Afin de réduire au mieux son empreinte carbone et donc son impact nucléaire, chaque citoyen peut agir. Cela peut notamment passer par l’installation de matériel nouveau (PV, PAC, BT), caractérisé par sa dimension écologique.

Car pour réduire son taux de CO² , il faut d’abord réussir à consommer moins d’énergie, ou alors de l’énergie positive. C’est par ce biais que la concentration de CO² pourra être réduite, et donc que le réchauffement climatique pourra être amorti par la diminution de l’impact nucléaire.

En adoptant des appareils labellisés PV, PAC et BT, chaque individu contribue à la baisse de la consommation énergétique globale. Dès lors, l’écologie s’en voit renforcée, permettant une diminution de l’empreinte carbone terrestre.

L’installation de matériel énergétique spécial (PV, PAC, BT) est donc primordiale. Grâce à cela, les conditions environnementales n’en seront qu’améliorée, et les risques diminués.

Conclusion

Le taux de dioxyde de carbone actuellement concentré dans l’atmosphère a atteint un seuil néfaste. Il ne cesse malgré tout d’augmenter, venant contribuer au réchauffement climatique de façon alarmante. Pour remédier à cela et permettre l’amortissement de l’impact de l’activité humaine sur le taux de CO², tout à chacun doit participer, notamment en mettant en place des installation à plus faible consommation énergétique (PV, PAC, BT).

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